La séparation et le divorce sont deux processus que tous les enfants vivent très mal. A l’origine de la perturbation totale de la vie de famille, ces événements occasionnent inévitablement une grande douleur chez les petits. Mais face à de telles situations, ces derniers ne réagissent pas toujours pareillement. En effet, si d’autres ont des comportements modérés, certains montrent des réactions tout à fait inattendues.
Des impacts qui durent rarement longtemps
Les effets d’un divorce sont souvent passagers chez la plupart des enfants qui en sont concernés. Au bout de deux ans après la dissolution de leur mariage, les parents retrouvent le plus souvent leur équilibre ce qui impacte avantageusement sur leurs enfants, car cela les aide à mieux gérer leur transition vers un tout nouveau mode de vie. Mais les enfants ayant subi la séparation définitive de leurs parents et qui par la suite sont sujets à des problèmes d’internalisation et d’extériorisation ne sont pas non plus rares. Il y a, en effet, certains jeunes gens qui gardent à vie les séquelles d’un divorce.
Un maintien des relations parents – enfants est indispensable
Les conflits parentaux, qu’ils aient lieu avant, pendant ou après le divorce ont toujours des conséquences néfastes sur les enfants. Dans l’objectif de rassurer leurs enfants quant à la place qu’ils tiennent dans la vie des deux parents, ces derniers doivent veiller à maintenir une relation saine avec eux après que le verdict officiel annonçant le divorce soit prononcé. Mais si la séparation est motivée par des cas d’abus : violence conjugale, il est souvent impossible pour les ex-époux de s’entendre. Le conjoint violent se voit fréquemment interdit de garde contact avec ses progénitures.
Les pères ont tendance à renoncer à leurs enfants
La majorité des pères sont enclins à abandonner totalement leurs enfants, parce qu’ils ne veulent plus rien à avoir avec une femme avec qui ils partagent des souvenirs amers. Dans ce cas précis, tout en souffrant psychologiquement d’avoir perdu l’un de leurs parents, les enfants doivent aussi faire face à la perte d’un soutien financier.