Des divergences d’avis

Les ambitions peuvent converger vers le bien-être commun tout comme elles peuvent se bloquer mutuellement. Ces différentes personnalités contradictoires peuvent alors défendre leurs points de vue respectifs par rapport à l’atteinte des objectifs. En outre, les membres de la famille peuvent avoir des points de vue différents par rapport aux idées, cultures, croyances, etc. Comme chacun peut se battre pour ses convictions, il s’en suit de temps en temps des rivalités plus ou moins importantes suivant les états d’âme et les connivences. Il devient par conséquent inévitable que des membres de la même famille, poussés par des intérêts et des motivations différents, en viennent à des extrémités regrettables si des balises ne sont pas installées. Parmi ces balises, la validation de valeurs communes que tout le monde s’engage à respecter constitue une des plus efficaces. L’instauration d’un cadre de culture commune reconnue, à tort ou à raison, implique le self-control dans les comportements.

Des valeurs communes pour solution

Le respect des aînés constitue probablement un des codes les plus reconnus dans les groupes familiaux. Rares sont les détracteurs de cette valeur, même parmi les jeunes qui se rebellent contre l’autorité. En fait, ce respect relève de l’atavisme ancestral de l’humain. Il faut veiller à l’inculquer dès le plus jeune âge pour qu’il devient naturel. Plus tard, la personne en tient compte, ouvertement ou non, dans ses décisions et réactions. Les aînés, censés être les plus sages, redressent d’une part, les idées qui dévient de la pensée commune et arbitrent, d’autre part, par rapport à cette pensée les différends qui peuvent apparaître. Il faut reconnaître qu’il s’agit là de réactions à posteriori à des situations regrettables. En fait, leur rôle consiste surtout à dissuader les protagonistes des disputes de faire apparaître celles-ci au grand jour. Enfin, les disputes peuvent naître de rivalités d’intérêts dont les origines doivent être débattues et les solutions communes recherchées.

Une entente parfaite entre cousins-cousines

Les cousins aiment partager de nombreuses choses ensemble surtout si leurs parents avaient déjà des liens entre eux depuis leur jeunesse. S’ils se voient par exemple 3 ou 4 fois pendant un mois, il n’arrêtera sans doute de parler de son cousin de temps à autre. Même le soir au lit, au moment du coucher, il continuera à mentionner son nom et à parler beaucoup de lui. Selon les psychologues, les relations entre cousins sont très bénéfiques pour le petit. Il arrive souvent qu’ils entretiennent de meilleurs rapports qu’avec son propre frère ou sœur. Ils jouent ensemble, essaient de nouvelles choses et font de nouvelles découvertes. De cette manière, ils grandissent sans expérimenter une relation de rivalité. C’est tout à fait le contraire de ce qu’il vit avec ses frères et sœurs là où ils doivent se confronter quelques fois.

Une relation privilégiée avec les tatas et tontons

Dans une grande famille, les enfants côtoient leur famille souvent le week-end. Certains attendent impatiemment ce moment pour revoir son oncle ou sa tante préféré(e). En effet, ces personnes jouent un rôle bien défini pour les petits. Ils entament une relation apaisée. Les conflits n’existent pas entre eux et ils peuvent profiter des bons côtés de cette relation. Il arrive même que les oncles occupent une place très particulière. Cela dépend des relations qu’ils ont eues avec les parents et les frères et sœurs de l’enfant. Pour lui, il voit son tonton préféré comme un super héros. Il passe toujours un merveilleux moment avec lui. De son côté, son tonton est aussi heureux de le revoir. Il profite de cet instant pour jouer avec son neveu. Que ce soit sa tante ou son oncle, ces membres de la famille représentent une figure positive pour le petit. Ils sont presque sa maman ou son papa. Ensemble, ils partagent certaines choses. Il se confie même à eux qu’à ses propres parents. Il les traite ainsi comme leur parrain ou marraine.

Bonne organisation

Bien que la spontanéité réserve souvent de belles surprises, rien ne remplace une bonne préparation. Le mieux c’est de commencer par choisir le lieu. Faites quelques recherches dans les environs pour choisir le spot idéal. Utilisez également les réseaux sociaux pour trouver des suggestions de lieu. Si possible, rendez-vous sur les lieux avant le jour J pour avoir une idée de ce qui vous attend. Une fois le lieu fixé, pensez à une date qui pourrait convenir à toute la famille. Assurez-vous que la date que vous avez choisie ne coïncide pas aux activités scolaires des enfants ou à rendez-vous d’affaire des parents. La dernière chose à faire c’est de consulter la météo, un ciel couvert peut vite gâcher la journée.

Préparer le menu et les activités à faire

Le choix du menu est un facteur important pour réussir en beauté un pique-nique. Assurez-vous que les plats répondent aux gouts de tout le monde. En général, les grillades font toujours plaisir aux papilles lors des pique-niques. Bière, jus de fruit, eau minérale, apporter tout ce dont vous avez besoin pour que tout le monde reste bien hydrater surtout si des activités sportives sont prévues. Pour que chacun puisse s’amuser, pensez à des activités qui intéressent chaque catégorie d’âge. Impliquez chaque membre de la famille à la préparation pour ne rien oublier, affectez les petits comme les grands sur des missions spécifiques.

Un canapé-lit : un bon compromis pour un couchage supplémentaire

Comment va-t-on s’organiser pour dormir la nuit ? C’est une question récurrente lorsque la famille s’agrandit par l’arrivée d’un nouveau membre. Le canapé-lit ou canapé convertible est l’unique solution quand les chambres ne peuvent plus accueillir un lit supplémentaire sans encombrer l’espace.

Avec un canapé-lit, vous pouvez ajouter un couchage supplémentaire dans n’importe quelle pièce à vivre. Pendant la journée, il occupe seulement la surface destinée à un fauteuil. Ce qui vous laisse assez de place pour circuler et pour faire d’autres activités dans la pièce. La nuit, lorsque vous n’avez plus d’autres choses à faire que dormir, vous le dépliez tout simplement.

Côté esthétique et confort, vous n’avez pas de souci à vous faire. Les modèles de canapé-lit convertible actuels disposent de design épuré. Ils sont équipés d’un matelas universel doté d’un soutien ferme, d’un accueil ferme et d’une meilleure indépendance de couchage.

Le lit escamotable : le mobilier idéal pour une pièce 2 en 1

Avec le lit escamotable, ce n’est plus le meuble qui est polyvalent, mais la chambre elle-même. Ce mobilier intelligent est à la fois un lit, un mobilier pour le séjour et une véritable pièce décorative. Ce mobilier permet de transformer une pièce à la fois, en un salon chic et en une chambre parentale cosy.

Vous avez largement le choix du mobilier qui accompagne votre lit escamotable. Il y a le lit escamotable canapé, le lit escamotable armoire, le lit escamotable encadré par un meuble avec casier… Il y a aussi le lit escamotable plafond et le lit encastrable dans le mur. Ce mobilier apporte du cachet à votre salon grâce à sa forme lorsqu’il est rangé.

Avec ce type de lit, les parents peuvent céder leur chambre aux enfants pour aller dormir confortablement dans le salon. Et voilà, vous bénéficiez d’un couchage supplémentaire et d’un cadre de vie spacieux sans devoir déménager.

Le sommier coffre : un mobilier qui cache bien ses atouts

Quand la famille s’agrandit, le problème n’est pas uniquement le couchage. Il faut aussi songer à la place pour ranger les effets personnels du nouveau venu.

Vous attendez la naissance d’un bébé ? Attendez-vous à être submergé par les habits et les accessoires indispensables pour votre bout de chou. Sac à langes, langes, couettes, serviettes, bodys, couches, grenouillères, gigoteuses… Vous risquez d’avoir une chambre complètement en désordre avec tout cela. La solution imparable consiste à opter pour un sommier à coffre.

Comme son nom l’indique, le sommier à coffre possède un espace de rangement spacieux. Vous pouvez y ranger une partie de vos affaires personnelles, ceux que vous n’utilisez pas quotidiennement. L’objectif est de libérer partiellement votre armoire pour accueillir les vêtements du bébé.

En ce qui concerne le couchage, vous pouvez choisir le cododo pour optimiser l’espace. Avec ce concept, l’enfant en bas âge dort avec ses parents, soit dans le même lit, soit dans un lit fixé près de la maman. C’est la solution idéale si vous n’avez pas de chambre libre pour l’enfant. Il permet aussi d’être près de l’enfant, donc de pouvoir s’occuper de lui facilement.

La table à manger extensible : un meuble pratique dans une pièce exiguë

Entre une table de 2 places et une autre de 6 places, il y a au moins une différence de 50 cm de longueur. C’est beaucoup en matière de surface, surtout que la place pour installer la table à manger est assez étroite. Aussi, si vous voulez gagner de l’espace comme avec le canapé-lit, optez pour une table extensible.

Cette table compacte peut passer facilement de 2 places à 8 places lorsqu’il est temps de prendre le repas en famille. Une fois replié, il prend la forme d’une petite table pour 2 sur laquelle les enfants peuvent faire leur devoir. Pour l’accompagner, vous pouvez opter pour les chaises pliantes ou les chaises empilables. Vous n’avez pas besoin de mettre 8 chaises dans la salle à manger.

Voilà quelques idées de meubles astucieux qui peuvent vous aider à accueillir d’autres personnes au sein de votre foyer. Il existe d’autres meubles pour petit appartement/maison, mais nous avons choisi seulement les essentiels pour l’agrandissement de la famille.

Collectez des documents et des informations

Les recherches en généalogie demandent du temps, de la patience et de la persévérance. Cependant, si vous êtes prêt à vous plonger dans les secrets de vos ancêtres, la première étape sera de trouver les documents les plus vieux que vous avez dans les archives familiales. Ces documents peuvent être :

– Des tickets restaurants ;
– Des actes de baptême ou de naissance ;
– Des actes de mariage ou de divorce ;
– Des certificats de décès ;
– Des anciennes photos, etc.

La majorité du temps, vous trouverez ces documents dans la cave ou dans le grenier d’une maison d’époque.

Vérifiez les archives gouvernementaux

À partir de là, il s’agira d’établir une liste d’informations à vérifier et à corréler avec ceux des archives sur :

– Les recensements de la population ;
– Les registres matricules et archives de la conscription ;
– Les archives notariales ;
– Les archives fiscales ;
– Les archives judiciaires.

Le but est d’obtenir un nom, un prénom, une adresse, et tout ce qui peut vous permettre de donner un visage à un/des ancêtres. En moyenne, une recherche généalogique bien menée peut remonter jusqu’au XVIIe siècle.

Contactez un professionnel

Dans les ¼ des cas, les recherches généalogiques aboutissent à la découverte d’un château ou d’une propriété laissée à l’abandon, en attente d’héritiers. Si vous soupçonnez que durant l’histoire de votre famille, cette situation est fort probable, faites appel aux services d’un généalogiste professionnel.

La différence entre faire votre généalogie vous-même et vous payer les prestations d’un généalogiste réside sur deux points : les dépenses (bien évidemment) et la légalité de l’action. En le faisant seul, beaucoup pourraient rendre le doute possible au niveau de votre statut d’héritier. Alors qu’avec un généalogiste, aucun doute ne sera permis.

Difficultés de relation père-fils

La relation entre un père et son fils est habituellement tendue. La raison de cette tension est que les petits garçons sont souvent têtus. Maman laisse souvent couler et met vite fin à la discussion, alors que papa s’occupe de le remettre à sa place pour imposer son autorité. Les pères aussi ont tendance à trop surestimer leurs fils. Un surestime qui va leur causer souvent des déceptions. Aussi un père est souvent plus dur avec son fils qu’avec sa fille.
En grandissant, le jeune homme va commencer à penser qu’on lui accorde moins d’attention. Car arrivé à un certain âge, la mère et la fille développent une sorte de complicité féminine. De son côté, la protection du père envers sa fille augmente, du coup il va essayer de se rapprocher encore plus de sa fille.

Ce qu’un père doit apprendre à son fils

Un père est une référence pour son fils. Aucun père n’est parfait, mais il est dans l’obligation de montrer le meilleur de lui-même pour son fils, sans pour autant lui cacher les erreurs de son passé. Au contraire, il devrait en parler afin que la même histoire ne se répète pas. Les mères montrent et apprennent à leurs enfants la beauté de ce monde dans lequel on vit, à contrario, le père leur apprend à quel point la vie est dure et à quel point le monde est cruel. Mais surtout le père va édifier son fils à être un homme de valeur, car à l’avenir il sera le pilier de toute une famille à son tour.

Établir des règles pour alléger le quotidien

Lorsqu’on est parent, la responsabilité s’agrandit. Sans mesures à prendre, les amoureux vont faire face à beaucoup de problèmes tel que la fatigue, la nervosité, les crises, etc. Il est donc nécessaire pour le couple d’alléger son quotidien. Une relation saine aide également le bébé à développer sa vie socio-affectif. Le partage de tâche est un très bon moyen pour retrouver une vie plus harmonieuse et moins fatigante. S’occuper du petit bout à tour de rôle permettra à l’un comme l’autre d’apprécier son nouveau rôle. Cela aidera aussi l’un à accomplir ses tâches calmement. Autre règle qui a fait ses preuves, c’est d’échanger des commentaires positifs, surtout sur la façon dont l’autre s’occupe du bébé. En effet, se critiquer à bout de champs est fatigant.

Couple heureux : cultiver l’amour

On entend souvent dire : « l’amour s’entretient » et c’est bien vrai ! Toutefois, cela demande du temps et on sait bien que le couple avec un ou des enfants n’en dispose plus beaucoup pour sortir ou faire des activités. En s’organisant, il est possible de passer du temps ensemble car il est tout important d’accorder du temps à son partenaire et à son couple. Pensez à fermez la télévision, la radio ou votre téléphone lors des repas. Vous aurez ainsi un moment pour vous parler. Sinon, une promenade à trois est aussi intéressante pour profiter d’un moment agréable avec votre aimé.

Bien préparer son héritage : les règles d’or à suivre

– L’anticipation : l’essentiel est de prévoir ! À chaque âge, posez-vous ces questions : qu’arriverait-il si je mourais aujourd’hui ? À qui reviendrait mon héritage (à mes enfants, un bien-aimé, un ami ou à une association) ? Cette répartition me satisfait-elle ? Si non, comment y remédier ? Cette anticipation est à faire à chaque changement de vie personnelle (mariage, naissance…) ou professionnelle (création d’entreprise, retraite…).

– Bien définir ses priorités : c’est la règle numéro 2. Avant chaque prise de décision, réfléchissez à vos objectifs : souhaitez-vous avant tout protéger vos proches ou vous mettre à l’abri du besoin ? Que souhaitez-vous laisser et à qui : des dons d’argent, un bien immobilier ou un droit d’habiter ? Ces priorités sont ensuite à coupler avec la recherche d’allègements fiscaux.

– Vous devez également prévoir une donation-partage pour ménager la paix familiale. En effet, l’ouverture d’une succession est bien souvent source de conflits entre les héritiers. Pour éviter cela, envisagez la donation-partage si votre patrimoine vous le permet bien sûr. Celle-ci vous permettra de transmettre une part égale de votre héritage à tous vos héritiers.

Préparer son héritage sans s’appauvrir

À la différence d’un testament ou des clauses d’un contrat d’assurance-vie qui sont modifiables à tout moment, une donation est irrévocable, sauf entre époux. Il existe toutefois des solutions alternatives pour préparer son héritage sans se déposséder totalement : les donations avec réserve d’usufruit comme le droit d’habiter et de louer, l’achat d’un bien avec vos enfants auprès d’une société civile immobilière (SCI).

Il faut également assurer un pécule à ses poches en souscrivant une assurance décès, une garantie des accidents de la vie (GAV)… Certains de ces contrats prévoient le versement d’un capital en cas de décès accidentel et/ou toutes causes. Vous pouvez également prétendre à un soutien financier appréciable en cas de coup dur.

Préparer sa succession : ce qu’il ne faut pas faire

Il est déconseillé de rédiger seul son testament, même si c’est tout à fait possible. Le recours à un notaire est indispensable pour éviter de prendre des dispositions incompréhensibles ou contraires à la loi (inapplicables), comme la privation de l’un de vos enfants de sa part d’héritage.

Néanmoins, il ne faut pas se précipiter pour engager le premier notaire venu. Le choix du notaire auquel vous allez confier la succession ne doit pas être pris à la légère, car cela est irrémédiable. Dès que les héritiers donnent au notaire le feu vert pour procéder à l’ouverture de la succession, aucun autre ne peut reprendre le flambeau à sa place. En bref, ne vous trompez pas de notaire !